Choose a country or region to display content specific to your geographic position

Continue

FRENCH CONNECTION

29.03.2018

   

FRENCH CONNECTION

3 questions à Philippe Dumas, Directeur Général d'Onroak Automotiver et Chargé du programme ESM Nissan Onroak DPi.

Histoire liée au partenariat entre Motul et ESM Nissan Onroak Dpi (technique) et IMSA WeatherTech Sportscar Championship.

Philippe Dumas a travaillé avec Michael Carcamo, Directeur Général de branche Motorsport de Nissan, dans le but d'assurer le succès du programme ESM Nissan Onroak DPi. Après la victoire en 2017 au Petit Le Mans, l'association d'un chassis français et d'un moteur japonnais à encore prouvé son efficacité en brillant au 12H de Sebring.

Comment as tu créé cette alchimie entre les partenaire et ce projet ?

"Nous devions travailler rapidement, Le contrat a été signé à la fin du mois de septembre 2016 et la voiture devait être testé à Sebring le 22 décembre. Bien-sûr la base est une Ligier LM P2mais avec quelques modifications. Le département du design d'Onroak s'est concentré sur le développement de la voiture, en particulier de l'installation du moteur Nissan qui previent d'une GT-R GT3. Il est puissant mais un peu encombrant."

 

Comment as tu créé cette alchimie entre les partenaire et ce projet ?

Combien de personnes travaillent sur les deux voitures et quelles sont les principales nationalités ?

"L'équipe est composée d'environ 25 personnes. 50% sont des américains, 40% de français et 10% de japonnais pour le moteur. Aujourd'hui, dans des conditions de travail normal, il y a près de 70% d'américains."

Le sport automobile américain est différent de ce que nous connaissons en Europe. Pouvez-vous nous en faire l'illustration ?

"Eh bien par exemple, les spéctateurs peuvent regarder ce qu'il se passe dans les stands. Ce système change radicalement l'ambiance du paddock pour le grand public et les équipes. Le fait que nous ne soyons pas cloisonné dans des garages permet aux membres des différents teams de se connaître. En Amérique, tout est différent : la stratégie, les circuits, l'atmosphère ... C'est une autre philosophie, mais je dirais que l'approche américaine est plus dans l'ère du temps." 

©ESM